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Le 08 avril 2025 : Refus du FMI à financer Simandou ? Le cri d’alarme d’Ibrahima Sakho
Le 8 avril 2025, Ibrahima Sacko, président du parti CPUG, a adressé une lettre officielle à la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, pour demander la suspension immédiate du financement du projet Simandou en Guinée. Pourquoi ? Parce que, selon lui, les ressources minières du pays sont détournées pour financer un régime militaire violent et répressif. Dans ce courrier-choc, il accuse le pouvoir de Mamadi Doumbouya d’avoir signé en secret un contrat de 150 millions d’euros pour acheter des armes, utilisées non pas pour défendre le pays, mais pour intimider, emprisonner, torturer et tuer toute opposition.
Ce que Dr.Sacko dénonce :
Une Guinée transformée en État policier, des enfants tués lors de manifestations pacifiques,
des disparitions forcées, des prisonniers politiques jetés en prison sans procès, des secteurs vitaux (éducation, santé, agriculture) complètement abandonnés, un chômage explosif, forçant les jeunes à fuir le pays. Ce qu’il demande au FMI : Stopper tout financement de Simandou tant qu’un gouvernement démocratique n’est pas restauré ;
Exiger des garanties sur les droits humains et la bonne gouvernance ;
Ne pas devenir complice d’un régime qui opprime son peuple avec l’argent des ressources nationales.








Le 1 avril 2025 : Suspension de 28 partis politiques, dont RPG-AEC et UFR : une décision arbitraire et illégitime de la junte militaire.
La suspension illégale de 28 partis politiques, dont le RPG-AEC et l’UFR, par la junte militaire est une violation flagrante des principes démocratiques. Cet acte ne saurait être interprété autrement qu’une tentative désespérée de confisquer le pouvoir par des dirigeants illégitimes, qui l’ont obtenu par la force au prix de massacres de nombreuses vies, notamment parmi les jeunes militaires. Pour justifier cette dérive autoritaire, la junte militaire avance des prétextes ridicules, invoquant un prétendu « non-respect des normes en vigueur ». Une telle justification est aussi absurde qu’hypocrite, comment des putschistes, qui ont eux-mêmes bafoué la Charte de la transition, violé les lois, enlevé des citoyens, torturé et exécuté des activistes, et assassiné des militaires dissidents, peuvent-ils aujourd’hui se prétendre garants de la légalité ? À mes camarades engagés dans le combat politique, je vous dis ceci : ne cédons à aucune intimidation. Cette suspension arbitraire n’est en rien la fin de notre lutte ; bien au contraire, elle renforce notre détermination. Face à l’oppression, notre engagement doit rester intact et inébranlable. Nous devons intensifier la résistance, mobiliser nos forces jusqu’à ce que cette junte autoritaire tombe et que l’ordre constitutionnel soit rétabli.
Ibrahima SAKHO

Le 28 mars 2025 : En libérant Dadis Camara, le dictateur Mamadi Doumbouya confirme son mépris pour la justice et les 156 personnes tuées par les militaires lors des manifestations du 28 septembre 2009
En accordant une grâce présidentielle à Moussa Dadis Camara, le général Mamadi Doumbouya ne se contente pas de ternir la mémoire des 156 victimes du massacre du 28 septembre 2009, il perpétue également un cycle d’injustice et de répression qui écrase notre pays sous son régime dictatorial.
Cette libération n’est pas un geste isolé, mais une preuve manifeste du mépris de ce pouvoir envers la justice et les droits humains. Elle confirme que la priorité du régime actuel n’est pas la réconciliation ni la vérité, mais bien la consolidation du pouvoir à tout prix, sacrifiant ainsi des milliers de Guinéens qui ont enduré la brutalité de ce système oppressif.
Rappelons-nous : en 2020, sous les ordres de Mamadi Doumbouya, le Colonel Mamady Condé et le Sergent Mamady Demba Condé ont été tués après une fausse convocation militaire orchestrée par des membres du Groupement des Forces Spéciales, dirigé par Doumbouya lui-même. Un an plus tard, le Général Sadiba Koulibaly, victime d’une condamnation arbitraire, a été torturé et assassiné. Ces actes, restés impunis, témoignent de la nature même du régime de Doumbouya.
Les disparitions forcées et les assassinats ne cessent de plonger notre pays dans la douleur. En juin 2024, les activistes Oumar Sylla (alias Fonike Mengue) et Mamadou Bilo Bah ont été enlevés, torturés et exécutés au camp militaire de l’île de Kassa. Quelques mois plus tard, le Colonel Pépé Célestin Bilivogui, disparu pendant un an, a été retrouvé mutilé à la morgue de l’hôpital Ignace Deen.
La répression se poursuit, touchant aussi bien les opposants politiques que les citoyens ordinaires. Les manifestations pacifiques, un droit fondamental, sont systématiquement réprimées dans le sang. Le 5 septembre 2023, plusieurs jeunes, dont Souleymane Diallo, Mamadou Pathé Baldé, Moutar Keita et Mamadou Tanou Diallo, ont été abattus lors d’une marche pacifique contre le régime. En mai 2023, d’autres jeunes, comme Ibrahima Sory Diallo, Ousmane Bah, Thierno Ousmane Diallo et Boubacar Diallo, ont également été tués sous les balles des forces de sécurité.
Cette violence atteint des niveaux inacceptables. Un nourrisson de six mois a été tué lors d’une descente des forces de sécurité dans des foyers, et d’autres victimes, comme Djeneba Diakité, enceinte de sept mois, ont été tuées dans leur propre cour.
La situation ne cesse de se détériorer, avec des enlèvements systématiques d’opposants et d’activistes de la société civile. Le blogueur Ousmane Gnelloy Diallo, le coordinateur du Forum des Forces Sociales Abdoul Sacko, et bien d’autres, ont disparu sans laisser de trace, victimes de la terreur imposée par un régime autoritaire qui prétend servir la nation tout en l’asservissant.
Face à cette violence et à l’impunité qui se généralise, la grâce accordée à Dadis Camara est un véritable affront, non seulement aux 156 victimes du massacre du 28 septembre 2009, mais aussi à la mémoire collective de notre peuple. Ce geste ne s’inscrit pas dans une logique de réconciliation, mais dans une stratégie politique visant à rassurer des officiers frondeurs qui en interne veulent le départ du tortionnaire Mamadi Doumbouya à la tête de la junte militaire. Il est temps de dire NON à l’injustice, NON à l’impunité et NON à un régime qui sacrifie la Guinée sur l’autel de la répression, de l’autoritarisme pour se maintenir illégitimement au pouvoir.
Ibrahima SAKHO

Le 12 mars 2025 : Un rapport accablant met en lumière les crimes du régime de Mamadi Doumbouya – L’Union européenne sommée d’agir
Le 12 mars 2025, un rapport explosif de six pages, rédigé par Dr Ibrahima Sacko, Président du Parti Changement, Progrès, Unité pour la Guinée (CPUG), a été remis aux instances de l’Union européenne. Ce document glaçant dévoile l’ampleur des atrocités commises par le régime militaire de Mamadi Doumbouya. Il est devenu impossible de fermer les yeux sur une répression brutale, marquée par des exécutions extrajudiciaires, des disparitions forcées, des arrestations arbitraires d’opposants politiques et une censure sans précédent.















Cette junte militaire n’a aucune légitimité pour évaluer les partis politiques.
Ce régime autoritaire issu du coup d’État du CNRD n’a ni mandat, ni légitimité, ni soutien populaire pour interférer dans la vie politique de notre pays. Son seul héritage est celui de la répression, du sang et de la terreur. 4 années de gestion calamiteuse, de corruption endémique, de kidnappings, de détentions arbitraires, d’actes de torture et d’assassinats ciblés, les membres du CNRD n’ont jamais respecté un seul article de la Charte de la transition qu’ils ont eux-mêmes initiée depuis le 5 septembre 2021.
Un régime marqué par des crimes d’État
Exécutions extrajudiciaires
Colonel Mamady Condé
Sergent Mamadi Demba Condé
Général Sadiba Koulibaly
Colonel Pépé Célestin Bilivogui
Dr Mohamed Dioubaté
Enlèvements et disparitions forcées
Oumar Sylla (alias Foniké Mengué) et Mamadou Billo Bah
Saadou Nimaga
Abdoul Sacko
Détentions arbitraires
Dr Ibrahima Kassory Fofana
Amadou Damaro Camara
Dr Mohamed Diané
Oyé Guilavogui
Ibrahima Kourouma
Aliou Bah
Habib Marouane Camara
Kabinet Sylla
Fodé Moussa Mara El Sisi
Ramatoulaye Kolon Diallo
Manifestations pacifiques réprimées dans le sang
Quatre jeunes, âgés de 15 à 18 ans, abattus
Amadou Diao Bah, 21 ans, mort des suites de ses blessures
Sept manifestants, dont un nourrisson de six mois, assassinés
Ismaël Diallo, collégien, tué
Au total, 52 civils innocents et 355 militaires exécutés
Un combat pour la justice et la vérité
🔴 Notre engagement est inébranlable !
Nous continuerons à nous battre sans relâche jusqu’à ce que justice soit rendue. Nous n’aurons de répit que lorsque toute la lumière sera faite sur les assassinats, les disparitions forcées et les actes de torture. Nous exigeons la libération immédiate de toutes les personnalités politiques détenues arbitrairement.
Une dissolution illégitime et sans effet
⚠️ La dissolution des partis politiques par ce régime autoritaire est illégale et n’a aucune valeur. Elle ne constitue qu’un simple acte administratif, sans fondement juridique, qui sera annulé dès le retour à l’ordre constitutionnel.
Ibrahima Sacko

Guinée : la junte militaire sous la menace d’une enquête internationale du Haut-Commmissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Monsieur Volker Türk
Depuis le coup d’État du 5 septembre 2021, la Guinée s’enfonce dans une spirale répressive où l’État de droit semble n’être plus qu’un lointain souvenir. À la tête du pays, la junte militaire impose son autorité par la force, multipliant les actes d’intimidation et les violations des droits fondamentaux.
Disparitions forcées, exécutions extrajudiciaires, actes de torture : les témoignages accablants se multiplient. Dernier épisode en date, la mort en détention du général Sadiba Koulibaly dans des circonstances troubles, la disparition inexpliquée du colonel Pépé Célestin Bilivogui, et l’arrestation opaque de figures de la contestation, comme Oumar Sylla, dit Foniké Mengué, et Mamadou Billo Bah. Depuis leur enlèvement en pleine capitale, ces deux militants restent introuvables, et leurs proches, sans nouvelles.
Le sort de Foniké Mengué et de Billo Bah suscite une vive inquiétude. Ont-ils été transférés dans un lieu de détention clandestin ? Sont-ils victimes de mauvais traitements ? Ou pire encore, ont-ils subi le même sort que d’autres opposants présumés, exécutés dans le silence des geôles militaires ? L’absence totale de communication de la junte nourrit les pires craintes et alimente l’hypothèse d’un crime d’État.
Cette vague de répression pourrait cependant marquer un tournant. La contestation s’organise, et les pressions internationales s’intensifient. Ibrahima Sakho, président du parti Changement, Progrès, Unité pour la Guinée (CPUG), exige l’ouverture d’une enquête internationale sous l’égide des Nations unies. Une initiative qui, si elle se concrétise, pourrait contraindre le régime à s’expliquer et mettre en lumière l’ampleur des exactions commises.
La junte peut-elle indéfiniment échapper à ses responsabilités ? Si Foniké Mengué et Billo Bah sont en vie, qu’elle le prouve. S’ils ne le sont plus, alors viendra le jour où la vérité éclatera.





Grave crise socio-politique en Guinée : Dr Ibrahima Sacko interpelle le président Emmanuel Macron ce lundi, 3 mars 2025
Depuis le coup d’État du 5 septembre 2021, la Guinée traverse une crise profonde, marquée par une répression accrue et des violations des droits humains. Face à cette situation, Dr Ibrahima Sacko, président du parti Changement, Progrès, Unité pour la Guinée (CPUG), a adressé une lettre au président français Emmanuel Macron le 3 mars 2025. Dans ce courrier, il alerte sur la dérive autoritaire du régime du général Mamadi Doumbouya et appelle à une réaction de la communauté internationale.
Dr Sacko dénonce une gouvernance fondée sur la peur, où les arrestations arbitraires se multiplient. Il rappelle que plusieurs personnalités politiques et membres de la société civile sont détenus sans procès équitable, parmi eux l’ancien Premier ministre Ibrahima Kassory Fofana et l’ex-président de l’Assemblée nationale Amadou Damaro Camara.
Dans sa lettre, il évoque également des disparitions forcées et des exécutions extrajudiciaires. Des militants comme Fonike Mengue et Bilo Bah restent introuvables, tandis que des assassinats ciblés auraient été perpétrés contre des militaires et des civils, dont le pédiatre Mohamed Dioubaté.
Autre point alarmant, la répression sanglante des manifestations. Selon Dr Sacko, au moins 63 manifestants ont été tués depuis 2021 lors de mobilisations pacifiques, tandis que 355 militaires auraient perdu la vie dans des affrontements liés au putsch.
Face à cette situation dramatique, l’opposant guinéen appelle à une intervention internationale pour mettre fin aux exactions et rétablir l’état de droit dans le pays.



Signalement de crimes en Guinée : Dr Ibrahima Sacko adresse un courrier au Procureur de la Cour Pénale Internationale (Document)
Dans un signalement officiel adressé au Procureur de la Cour Pénale Internationale (CPI), Dr Ibrahima Sacko, Président du parti Changement-Progrès-Unité pour la Guinée (CPUG), a dénoncé de graves exactions commises sous le régime militaire du Général Mamadi Doumbouya.
Ce document accuse la junte en place depuis le coup d’État du 5 septembre 2021 de crimes contre l’humanité et appelle à l’ouverture immédiate d’une enquête internationale.
Le document cite plusieurs victimes, parmi lesquelles des militaires et des civils brutalement tués ou torturés. Parmi elles :
Colonel Mamady Condé – assassiné
Général Sadiba Koulibaly – torturé et assassiné
Dr Mohamed Dioubaté – torturé et assassiné
63 jeunes manifestants – tués par balles lors de manifestations pacifiques
355 militaires – exécutés lors du coup d’État
Des cas de disparitions forcées et de détentions arbitraires sont également rapportés, notamment celui d’Abdoul Sacko, retrouvé entre la vie et la mort après plusieurs heures de torture. Preuve de dépôt à la Cour Pénale Internationale de la Haye (Pays), courriers en version française et anglaise à lire et à télécharger ci-dessous :


Le 18 février 2025 : Dans tweet, Dr Ibrahima Sacko dénonce le projet SIMANDOU 2040 : TROMPERIE, CORRUPTION, DETTE ET DANGER!
Mamadi Doumbouya le tyran veut endetter la Guinée de milliards de dollars auprès de la Banque mondiale, du FMI et des marchés financiers.
X NON au pillage de nos richesses !
X NON aux futurs plans d’austérité !